Paris, Paris, Paris…

Jolie surprise que cet établissement *** situé à 2mn de la gare Montparnasse (40mn de CDG, 20mn d’Orly).

Hôtel de charme, l’immeuble date de 1856. Une décoration générale de très bon goût, un personnel dévoué et attentionné, un petit déjeuner de qualité, le tout pour un prix très compétitif.

AVIATIC HOTEL – 105 RUE DE VAUGIRARD – 75006 PARIS – FRANCE
Tel. : +33 (0)1 53 63 25 50 – Fax : +33 (0)1 53 63 25 55 – welcome@aviatichotel.com

Bassin d’Arcachon, what else ?….

Petit Piquey : Chez Auguste.

Il existe différentes façons de déguster des huîtres sur le bassin. Celle-ci fait partie de celles réservées à quelques initiés. Vous profiterez d’une vue incroyable sur l’île aux Oiseaux, Arcachon, le Dune du Pilat….. sous l’œil attentif d’un personnage du bassin!

Chez Auguste 30 Rue Berthelot, 33950 Lège-Cap-Ferret

20140812_172239 20140731_191939

Grand Piquey : Patachou

Encore une institution du Cap que le changement de propriétaire n’a pas « trop » impacté. Racheté par Sébastien Bouillon il y a quelques années, on prendra toujours beaucoup de plaisir à s’arrêter déguster une glace. Les cornet sont maison, et les glaces artisanales. On regrettera la multiplication des ces nouveaux parfums chelous au détriment des fruits naturels et la quasi disparition des sorbets. En revanche, ses glaces figue, pêche de vigne ou encore rhum raisins restent des incontournables. Bonne dégustation. Si l’ambiance du parking ne manque pas de charme, je recommande aux meilleurs d’entre vous de faire quelques mètres pour s’offrir un des plus beaux points de vues sur le bassin, la Pointe aux Chevaux,. Contribue à la bonne digestion mais attention ! cela peut piquer les yeux…

Patachou 110 av Pointe Chevaux Grand Piquey, 33950 Lege Cap ferret

  patach2 patach1

Le Cap Ferret : Pinasse Café

Une première ligne sur mer de qualité, pas fréquent… Une situation de rêve!

Pas de surprise concernant cet établissement que je fréquente depuis de nombreuses années. Le chef tient sa place et sa carte, la carte est intéressante, les plats de bonne facture, l’accueil de qualité et le personnel peut avoir de l’esprit à ses heures… La maison est bien tenue.

On prendra la peine de réserver pour se garantir une terrasse vue mer, avec en prime Arcachon et la Dune du Pilat.

2 Bis Avenue Océan, 33950 Cap-Ferret. 0556037787

pinasse 2  pinasse1

 

 

Pays Basque – Euskal Herria

logo st jean

Saint-Jean, tout simplement.

J’ai le plaisir de fréquenter Saint-Jean-de-Luz depuis une quinzaine d’année. Les quelques adresses suivantes sont, sans parler de « gastronomie » des restaurants où l’accueil, le service et la qualité des plats servis sont garanties. Pas toujours évident sur ce type de destination….

 

logo_kako Chez KAKO, bistrot basque

Midi et soir, un personnel qualifié et professionnel dans une ambiance particulière, situé autour de la place des halles. Pas de surprise. L’expresso du matin y est également très sympathique. Boulevard Victor Hugo.

 

La Buvette de la Halle

Midi et soir (sauf les déjeuners du mardis et vendredi pour cause de marché extérieur), Ambiance conviviale et locale, tout public pour partager une  Antxoak entsaladan ou une Sardinak plantxon du jour. 18 Bis Boulevard Victor Hugo.

20140809_124847

 

Cesta Punta,

cp2cp3scp1

Je recommande bien entendu d’aller admirer en famille  une partie de Cesta Punta, l’une des différentes formule de la Pelote Basque. Jaï Alaï. Ludique avec des commentateurs très pédagogique, un très bon moment de « culture » Basque.

20140807_231503 E Dréan et Eric IRASTORZA (4 fois champion du monde) après sa demie finale remportée aux Internationaux de Saint-Jean-de-Luz le 07 août 2014

 

log bay

Le temps d’une halte à Bayonne :

t-bamas_bayonne Thierry Bamas : Mof, Pâtissier (Meilleur Ouvrier de France) 2011,  et champion du monde des desserts glacés.

A déguster impérativement : Sa glace au lait de brebis et cerise, en déambulant dans les rue de Bayonne et à ramener, une plaquette de son chocolat noir au piments d’espelette,  just amazing !  En cas d’urgence… présente également à Anglet et Biarritz. 83 rue d’Espagne.

 

plein la vue

20140720_174144     20140720_173650Côtes d’Armor, en proximité de Pordic, un espace privilégié d’où vous découvrirez ou observerez des sites exceptionnels comme Cap Fréhel, le Val André ou encore la plage des Rosaires.

Une vue rare et imprenable, au calme, depuis et sur cette magnifique Côte d’Emeraude, véritable invitation à un moment rare qui accompagnera  parfaitement un frichti de bonne facture, qualité du site oblige ! Attention, une seule table disponible, la place est prisée.

Coordonnées GPS sur demande.

A Rome, fais comme les romains

romacapitale_head

Sans hésitation, Rome se découvre également pendant les fêtes de fin d’année.                            Je recommande particulièrement le quartier de Trastevere pour résider. Idéalement situé pour relier à pieds le Vatican, la fontaine de Trévi, la place d’Espagne ou encore le Colisée…, vous profiterez également d’une ambiance « populaire » du meilleur goût.

Quelques adresses de bonnes factures :

-Le Fish Market, .                                                                                                                                Concept simple et sympa autour du poisson que l’on choisit frais au buffet.                                   via di pietralata 149

-Castroni caffè, .                                                                                                                             Incontournable épicerie fine « à l’ancienne » de Rome.                                                                           via Cola di Rienzo, 196

-Nonna Vincenza, .                                                                                                                         Pâtisserie sicilienne  traditionnelle, salon de thé. Un petit faible pour le « cannoli ».                           via Arco del Monte, 98

-da Bucatino,                                                                                                                                               Un grande classico ! Façon Scorsese pour l’ambiance, une cuisine traditionnelle et familiale. Lâchez-vous sur le Tiramisu, il vaut le détour.                                                                                        via Luca della Robbia, 84,86.

-Beppe,                                                                                                                                                Superbe fromagerie.                                                                                                                                   via Santa Maria del Pianto 9a

-Alberta,                                                                                                                                                   Gantier à l’ancienne                                                                                                                                   Corso Vittorio Emanuele, 18/a

 

enit

« star » system, Jean-Marie BAUDIC, Youpala Bistrot de nouveau étoilé au Guide Michelin

20140430_164948

17 avril 2014, Jean-Marie Baudic & Erwan Dréan au Youpala

Le Youpala en quelques mots,

C’est avant tout la matérialisation de ce que ma compagne et moi-même avions et avons toujours envie de faire partager. Créé il y a 8 ans avec des petits moyens nous avions cependant un parti pris fort : une situation décalée impliquant une réelle démarche de la clientèle et une restauration simple avec l’assurance d’une réussite si la qualité est au rendez-vous. Une façon de donner du sens à ce que je fais.

L’idée principale était celle d’une restauration exclusivement articulée autour des suggestions du Chef, sans carte ni menu. Proposer des créations directement liés aux marchés et donc aux saisons. Pour ce faire je fréquente un certain nombre de marchés locaux dont Pléneuf, Saint-Brieuc et le Val André

L’appellation Bistrot nous permettait de traduire une certaine simplicité et de garantir une convivialité, de l’échange pour une cuisine sans code, des valeurs essentielles pour nous.

Quant au nom Youpala, il me suit depuis mon apprentissage. C’était l’expression favorite de Patrick Jeffroy (youpala, tagada zoup !). Je me le suis approprié au fil du temps, il m’a servi à dénommer entre autres quelques-uns de mes plats, de mes sauces jusqu’à devenir une évidence pour le nom de mon restaurant.

D’un projet de restauration simple, que nous imaginions gérer en couple, le naturel est revenu au triple galop et le gastronomique c’est imposé, mais toujours dans l’objectif d’une gastronomie décomplexée.

2014, tu retrouves ton étoile,

Je la retrouve avant tout avec ma compagne et bien entendu avec l’équipe.

Pour ce que je ressens, il s’agit avant tout d’une certaine fierté. Il a été dur de la perdre, même si  cela me rappelait que « rien est acquis ». Le fait de maintenir le cap, sans baisser les bras, et de conforter notre sérieux et la qualité de notre travail rend son retour « légitime ».

Une étoile également importante pour l’ensemble des fournisseurs qui m’accompagnent dans ce projet depuis le premier jour. N’oublions pas que je ne fais que transformer, magnifier leurs produits.

Comment l’avais tu perdu ?

Nous l’avons gardé 5 ans et « on nous l’a enlevé » au moment où j’avais le sentiment que nous étions au top. Je n’ai jamais trop cherché à savoir pourquoi. Il semblerait que le Guide soit venu deux fois, deux fois où j’étais absent pour des raisons légitimes de gestion de l’établissement et pendant lesquelles mon second était aux commandes, bref !…. J’avoue avoir été blessé dans mon for intérieur. Je l’ai vécu comme mon premier véritable échec professionnel « marquant » que j’ai eu du mal à accepter.

Du reste, les deux années qui ont passées n’ont pas été réellement des années de reconquête. Le départ de mon second m’a simplement obligé à revoir l’organisation avec une implication plus prégnante de ma compagne et pour ma part une revisite de mes fondamentaux en tant que cuisinier. Nous avons maintenu et conforté notre niveau de qualité.

Ma cuisine est certes atypique cependant mon second avait quand même cinq ans de maison. Il connaissait parfaitement le métier. J’admets que la présence du chef peut être importante cependant ma vision de mon métier c’est que ma cuisine puisse-t-être exécutée comme je l’entends que je sois là où pas là.

Pour ma part je l’ai vécu comme une grande claque avec son lot d’incompréhension, en revanche j’en ai tiré mon parti en m’imposant une véritable réflexion et un travail personnel. C’est un peu comme un deuil.

Que représente « l’étoile Michelin » pour un chef ?

L’étoile, la première, c’est la reconnaissance du sérieux pour un chef et pour une maison.

Au Youpala ce n’était pas une finalité, elle nous a été attribuée 8 mois après l’ouverture, en mars 2007, malgré le fait que nous étions en marge des codes du Michelin classique.

Par plaisir et par respect pour nos clients, je me suis donc organisé/structuré pour la maintenir sans déroger à notre état d’esprit.

La seconde ou encore  la troisième étoile en revanche, représente le summum. Elles réclament une réelle démarche et deviennent des objectifs pour les chefs.

Pour ma part, j’avais déjà était étoilé. Ma toute première était un défi que je m’étais lancé. C’était pour moi une validation « naturelle » de mon savoir-faire.

De plus, c’est l’univers professionnel  dans lequel j’évolue depuis toujours et en toute simplicité je ne sais pas faire autre chose.

Quelle(s) répercussion(s) sur ton métier, ton quotidien ?

Au Youpala, nous travaillions déjà très fort, dès l’ouverture, avant d’avoir l’étoile. L’étoile valide une organisation, un travail donc elle ne révolutionne rien Elle implique également une rigueur certaine pour la tenir. Elle a bien entendu permis d’assoir l’activité sans  pour autant engendrer des répercutions directes sur les prix et le sur chiffre d’affaires. Par ailleurs, elle offre un réel plaisir par la diversité des clientèles qu’elle nous permet de drainer.

C’est également un exercice intéressant qui est pour beaucoup un révélateur quant au niveau des individus et à leur propres limites de compétences. Comme je le disais précédemment, le niveau d’exigence de la deuxième et/ou de la troisième implique de la stratégie et de la maitrise.

L’effet levier économique est donc à moyens et longs termes, avec il faut l’admettre un impact réel dans les années difficiles, comme celle que nous traversons.

Enfin, n’oublions pas le relationnel intéressé et/ou intéressant avec les fournisseurs, à la presse au métier. Elle apporte assurément de la reconnaissance ainsi qu’un sentiment d’exister.

Faudrait-il comprendre qu’il t’arrive de penser à une deuxième étoile en te rasant le matin ?

… sourire…

Tu le précisais, ce n’était pas ta première étoile ?

Effectivement, j’ai accompagné un certain nombre d’étoilé avant de le devenir moi-même

-          Pierre Gagnaire, à Saint-Etienne, 3 étoiles, j’étais commis, www.pierre-gagnaire.com

-          Pierre Gagnaire, à Paris, 3 étoiles, j’étais second, www.pierre-gagnaire.com

-          Hélène Darroze, à Paris, 2 étoiles, j’étais Chef, www.helenedarroze.com

-          Aux Pesked, à Saint-Brieuc, 1 étoile, j’étais Chef associé, www.auxpesked.com

-          Le Youpala, à Saint-Brieuc, 1 étoile, Chef propriétaire, www.youpala-bistrot.com

Rapidement, ton parcours ?

-          Ecole Hôtelière de Saint-Quay-Portrieux, CAP,

-          Patrick Jeoffroy à Plounéren, 1 étoile, 18 mois, j’y ai obtenu mon BEP,      www.hoteldecarantec.com

-          Pierre Gagnaire à Saint-Etienne, 18 mois,

-          Michel Rostang à Paris, 1 an, www.michelrostang.com

-          Aigue Marine, le chef Arnaud Le Levier, à Tréguier, 8 mois,

-          La Bergerie au Luxembourg, 2 étoiles, le chef Claude Phal, 24 mois,

-          Pierre Gagnaire à Paris, 5 ans,

-          Helen Darroze à Paris,  24 mois,

-          Aux Pesked, 42 mois.

-          Le Youpala, 2007 à ce jour…

La cuisine pour toi ?

Assurément un mode, mon mode d’expression, inné très certainement. J’ai toujours voulu faire ce métier depuis ma plus tendre enfance. Le goût du bien mangé transmis par une mère bonne cuisinière et une famille pour laquelle la table était importante et y être ensemble encore plus. Un art de vivre également. Cuisiner pour moi c’est naturel et « facile ».

La Bretagne ?

Je l’ai dans le sang, je m’y sens bien. Je suis né à Pabu prêt de Guingamp. Elle fait partie de ma personnalité, de mon histoire, elle participe et contribue à ce que je suis et à la cuisine que je produits. Son terroir habite l’ensemble des ingrédients que je transforme. J’ai effectivement le sentiment de faire une « cuisine bretonne ». J’ai fait et/ou je ferai des choses intéressantes ailleurs mais différentes. Ma cuisine prend du sens en Bretagne. On s’imprègne toujours du contexte dans lequel on évolue.

3 publications à ton actif,

Osez, le premier, une rencontre avec un photographe puis avec un éditeur. La cuisine prétexte à mettre en valeur les saisons. Prix La Mazille. Un joli succès

Retour de Marché. Edition La Martinière souhaitait un livre sur les marchés. Mise à l’honneur des artisans.

Il est frais mon poisson. L’idée majeure était de simplifie, de « vulgariser » le poisson, sa préparation et sa cuisine.

Enfin, ton meilleur souvenir culinaire ?

L’alchimie du moment certainement… A l’occasion de la remise de la légion d’honneur de Pierre Gagnaire, on se retrouve au Gaya juste après, on me sert alors un cœur de cabillaud sur une royale de cèpes, tout simplement extraordinaire.

Merci chef !

 

Les parutions

osez il est frais mon poissonretour de marche

Les 3 Vallées

meribel 3v

Le domaine des 3 Vallées reste, pour ma part, une des meilleures, si ce n’est la meilleure, destinations SKI nationales et ce, tant pour la qualité du domaine, des pistes et de leurs aménagements que pour la qualité de ses infrastructures d’accueils, de ses services et de ses commerces.

J ’affectionne particulièrement Méribel, idéalement situé au cœur/centre du domaine et plus particulièrement Méribel Mottaret, pour sa simplicité et l’accessibilité exceptionnelle qu’elle offre à l’ensemble du domaine.

Logo_WordCup2015_Blc

Un clin d’œil particulier cette année au restaurant de piste Les Chenus à Courchevel 1850. Point de vue toujours magnifique, réaménagements réussis et nouvelle formule très agréable. Mention spéciale pour leurs Diots aux Crozets !

 

 

Bienvenue sur le blog Dréan Conseil !

Dréan Conseil est un cabinet de conseil guidé par des fondamentaux simples : l’écoute, la réactivité, l’échange et le pragmatisme.

Spécialisé dans le Métier du Tourisme et des Loisirs, Dréan Conseil met à votre service de nombreux savoir-faire qui en font un interlocuteur professionnel et privilégié : de la toute première réflexion d’un projet touristique à sa mise en exploitation et sa commercialisation.

Grace à ses expériences d’exploitant, de gestionnaire et de développeur, Erwan Dréan a noué au fil du temps des relations privilégiées avec un réseau de partenaires qui tous participent à la pertinence et à la valeur ajoutée des réponses et de l’accompagnement que Dréan Conseil vous apporte.